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*Merci à Florence Charbaut pour cette belle lecture en service de presse*
-Permis d’aimer (sous les flocons)
-Florence Charbaut
-Auto-éditions
-232 pages
-Romance, refuge animal, séparation, voisinage, jalousie, Noël
Le commentaire de Carole :
Nous sommes le 1ᵉʳ décembre, et la journée commence sur les chapeaux de roues. Olivia va tenter à nouveau d’avoir son permis de conduire. Une réaction inappropriée va l’amener encore une fois à l’échec. La cause est un petit chien qui se trouve dans la rue qu'elle va récupérer pour lui sauver la vie. Comme si la journée n'avait pas assez mal commencé, elle fera la connaissance de sa nouvelle voisine au tempérament exécrable. Désespérée, elle va voir Denise, sa voisine du rez-de-chaussée, à qui elle confiera sa journée. Celle-ci a 82 ans, bien que sa mobilité soit réduite, elle a toute sa tête et son opinion est directe. De retour à son appartement, une surprise majeure atteint Olivia quand on cogne à sa porte et qu'elle voit l'examinateur qui lui a refusé son permis de conduire avec en main des fleurs et une bouteille de vin. On s'engage dans une aventure avec des ex-conjoints, des malentendus et bien sûr de la jalousie. Un roman agréable à lire, des personnages colorés qui donnent du piquant à l'histoire ainsi que Roussette, un animal de compagnie plutôt original. Mis à part Christmas le petit bichon, le thème de Noël est peu présent. Les chapitres sont courts, l'écriture est fluide et agréable. Une lecture qui amène à la détente et vous fera sourire.
Résumé :
Échouer à son examen de conduite peut arriver à tout le monde. Mais, récidiver la veille de Noël pour secourir un animal en danger alors qu'on en a absolument besoin est beaucoup moins courant.
Je ne regrette pas d'avoir appuyé un peu fort sur la pédale de frein, même si l'examinateur sexy a plongé la tête la première dans le pare-brise en jurant comme un charretier.
Il a choisi de ne pas me délivrer le précieux sésame, grand bien lui fasse!
Quoi qu'il en soit, je ne compte pas recroiser cet homme, aussi séduisant soit-il. Quelle n'est pas ma stupéfaction de le retrouver sur mon paillasson quarante-huit heures plus tard, un sapin défraîchi dans les mains! Ses yeux reflètent une surprise identique à la mienne.
Étrange, non?