*Tome 3***Tome 4***Tome 5* |
---|
*Je tiens à remercier Les Éditions de l’Apothéose et Distribulivre pour ce service de presse*
-Les cinq saisons de l'avenir
-Tome 7 - qui redoutaient la colère de l'an cent
-Michel Bélil
-Les Éditions de l’Apothéose
-425 pages
-Roman fantastique, science-fiction, policier
Le commentaire de Martine :
La série des cinq saisons de l'Avenir est un ensemble d'enquêtes qui permet au lecteur de lui aussi ramasser des informations, des preuves, des interrogations, des réponses afin d'élaborer comment les personnages qui mènent les enquêtes comme la capitaine Léanille Nguyen et celui qui est à sa retraite, tout en s'étant converti en consultant va venir lui prêter main forte pour une des deux enquêtes qui lui est donnée. Une enquête concerne une noyade dans un lac, mais qui reste une question comme elle souffre d'un trouble alimentaire la potomanie qui soulève le doute sur un homme marginal qui a une addiction, tandis qu'une disparition qui concerne la fleuriste du village se fait remarquer automatiquement et, une suspecte déjà connue. On sent bien qu'OBomsawin reste toujours disponible pour son ancienne assistante à qui, il a donné une bonne formation alors il sait que si elle lui demande de l'aide, c'est qu'elle en a besoin. On sent bien qu'OBomsawin reste toujours disponible pour son ancienne assistante à qui, il a donné une bonne formation alors il sait que si elle lui demande de l'aide, c'est qu'elle en a besoin.
Deux enquêtes qui vont demander au capitaine de ne pas se laisser hanter par ses souvenirs et ses démons, il faut garder la tête froide afin de bien analyser son enquête dans les moindres détails. Pour O'Bom, aussi, chaque enquête ravive la douleur de la perte de sa sœur et lorsqu'il parle aussi, son défaut de langage est toujours aussi présent. De plus, les jumelles que l'on surnomme les veuves noires, vont-elles aussi, venir mettre la bisbille au sein du ghetto, en poursuivant le combat que menait Zita Tanzanie.
Dans ce tome-ci, Michel Bélil apporte des éléments surprenants au sein de cette communauté et des habitants. Nous sommes en terrain post-apocalyptique, donc L'Avenir est toujours en fragilité dans sa reconstruction d'un territoire qui comporte certaines blessures, traumatismes, distensions, humiliations et cicatrices accumulées au fil des années. Chaque intrigue crée des échanges et des liens, tout en permettant à la population de vivre au sein d'une cité qui est bien surveillée anciennement par le métis O'Bomsawin et présentement par la capitaine Léanille Nguyen, vous allez me dire qu'au fil des tomes, les personnages se sont croisés à plusieurs reprises, selon leurs allées et venues, tout comme la réalité d'une communauté rurale de l'Estrie. C'est alors que je vous dirai que cette saga ferait un excellent téléroman ou série télévisée, qui représenterait la vie de l'Avenir et de ses citoyens au fil des enquêtes et des dénouements remarquables que réservent l'auteur, à chaque tome. La seule chose que je veux partager avec vous, c'est que vous devriez lire Michel Bélil avec une remarquable imagination qui nous offre chaque fois un roman des plus captivants, intéressants et marquants avec des personnages qui sont, l'âme de ce patelin inoubliable.
Résumé :
Une jeune scientifique est retrouvée au lac Ulverton, à première vue noyée. On apprend qu’elle souffrait de potomanie, c’est-à-dire qu’elle ne pouvait s’empêcher de boire de trop grandes quantités de liquide, au risque d’en mourir. À L’Avenir, les soupçons se portent sur un marginal qui cache une rare dépendance.
En face du marché de L’Hériotte, une fleuriste disparaît sans raison de sa boutique. La police s’intéresse aussitôt à son associée qui, par le passé, a provoqué la mort de sa fillette alors qu’elle était en pleine dérive.
Voilà deux enquêtes compliquées que doit résoudre la capitaine Léanille N’guyen, elle qui est toujours hantée par ses vieux démons amoureux. Débordée, N’guyen fait appel à O’Bom qui s’est reconverti en consultant pendant sa retraite. Lui aussi a été marqué par l’agression de sa sœur, ce qui a provoqué chez lui un défaut de langage.
Pourquoi les jumelles, surnommées les veuves noires, ont-elles décidé de poursuivre la lutte de la pasionaria Zita Tanzanie afin de donner une voix au ghetto de L’Avenir, quitte à s’attaquer à une riche famille de la route Boisvert ? Faut-il sauver à son corps défendant une vieille dame surnommée la Diogène qui abrite des dizaines de chats errants dans son taudis de la rue Cockburn ?
Toutes ces intrigues s’enchevêtrent, alors que pèse sur l’amicale une menace prédite par les religions. Il n’y a pas de temps à perdre. Vite ! Il ne reste que six mois avant que sonnent les trompettes de l’apocalypse.