*ALIX* T4: Les Géants* Delfiane* Éditions de la Draiglaan* par Lynda Massicotte*

*Tome 1***Tome 2***Tome 3*

*Merci à Delfiane pour ce service de presse*

-Alix
-Tome 4 :  Les géants
-Delfiane
-Éditions de la Draiglaan
-354 pages
-Érotico-fantastique, amour, mort, suicide

*Éditions La Draiglaan*

*Amazon FR*

*Delfiane, FB*

Le commentaire de Lynda : ♥ Coup de cœur ♥
Je termine cette superbe série avec le cœur brisé, pourquoi ? Tout simplement parce que je n'ai pas envie de quitter cette série. Je peux aussi vous dire que mon coup de cœur a grossi avec les tomes, et ce quatrième tome et bien ça été le summum, quelle lecture !
Qui sont les géants, et bien, c'est en lisant ce quatrième tome que l'on comprend tout le sens attaché à ce mot, et vous le découvrirez également de votre côté.
Toute la bande, si je peux utiliser ce terme, a continué à cheminer, et même si ai début de ce 4e tome, on sent un peu de bisbille et un peu beaucoup à cause de l'amour. Mohira est le point central de tout ça. Moi ce personnage m'aura marqué pour un très long moment.
Leur but commun est de retourner sur Alix, l'île fantastique d'où on les a évacués, les cinq géants, Mohira, Maximilien II, Christobal, Guilhem II et Nicolaï. 
Peut-on aimer 2 hommes en même temps, ou encore plus, et bien, il semble que Mohira le puisse, il n'y a pas de différences pour elle, elle aime et elle le montre, mais ça ne fait pas l'affaire de tous, c'est bien évident, je crois par contre que c'est surtout de l'incompréhension que l'on voit.
Il y a de tout dans cette lecture, du fantastique, la guerre, le retour aux sources, de l'amour et de l'érotisme, mais avant tout, il y a cette fraternité, cette proximité qui font que les cinq ne font qu'un, commes les cinq doigts d'une même main.
Les personnages sont sublimes, majestueux, authentiques, et ne me demandez pas lequel j'ai préféré, je les ai tous aimés, et ce, pour différentes raisons, mais j'ai un petit quelque chose pour Mohira et pour Maximilien II.
On embarque dans ce dernier tome assez rapidement, et l'action commence tout de suite. Alors on ne voit plus les pages passées, nous sommes partagées, oui, on veut arriver à la fin, mais non on ne veut pas les quitter.
Il y a bien sûr des scènes érotiques, mais avec douceur, sensibilité, presque de la poésie, et c'est très beau.
La fin m'a laissé en larmes et toute en émotion, par bonheur l'épilogue est là et nous donne un peu d'espoir envers ces géants.
Comme à son habitude, l'écriture est fluide, accrocheuse d'un point à l'autre, les personnages sont extraordinaires et que dire du décor et de l'environnement, je peux m'imaginer faisant partie de cette bande et je vais tellement les regretter.
Oui, c'est un coup de cœur, et je vais vous donner un petit conseil, faites-vous un merveilleux cadeau, et lancez-vous dans cette sublime saga, Alix.  Oui, bien sûr, ça fera plaisir à Delfiane, en sachant que cette saga est lue, mais en fait, c'est à vous que vous vous ferez ce cadeau, parce que l'on ne peut pas passer à côté, oui, c'est du fantastique, et oui, c'est de l'érotisme, mais vous pourriez être surpris en adorant cette série, alors n'hésitez pas! À travers ces mots et ces lignes, vous reconnaîtrez la magnifique plume de Delfiane.

Résumé :
Vous êtes le plus solide de nos filins composés de cinq brins représentant vos vies, nos racines et nos espoirs. Vos liens sont indéfinissables, mais chacun de vous représente un solide fil et celui-ci est directement entrelacé avec les autres. Si l’un se brise, le filin se cassera… 
Il y eut un commencement… Accharion, dieu suprême des Mohirimm, bannit son fils Maximilien du panthéon ainsi que toute une génération de divinités les envoyant vivre sur des îles, dont celle d’ALIX. 
Il y eut l’amour… Mohira, Maximilien II, Christobal, Guilhem II et Nicolaï. Cinq comme une étoile lumineuse à cinq branches. Cinq vies reliées les unes à travers les autres. 
Et il y eut la mort… «Je la trouvai sur le sol. Là, inerte. Mon amour, ma vie. Elle ne respirait plus et son cœur ne battait plus… nous allions donc tous mourir… tous… 
Assis sur le sol, portant dans mes bras Mohira d’Accharion, mon ange, je l’embrassai tendrement, juste avant. Juste avant que j’enfonce profondément ma dague dans mon propre cœur. Juste avant que je me donne la mort. Et je la gardai tout contre moi, jusqu’à temps que la vie, telle que je l’avais connue jusqu’ici,  ne me quitte.» 
Si l’un des brins se brise, le filin se cassera…