*Je tiens à remercier Les Éditions XYZ La revue de nouvelle pour ce service de presse*
- XYZ la revue de la nouvelle - Février 2024- no 157 - Bibliophilie et autres pathologies
-Collectif dirigé par Claude La Charité
-Les Éditions XYZ la revue de la nouvelle, Collection Hors-collection
-104 pages
-Recueil de nouvelle, bibliophilie, éditions, bibliothèque
*XYZ La revue de la nouvelle* |
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Le commentaire de Martine :
Un beau recueil de nouvelles racontant des récits totalement ancrés dans la réalité. Il va comprendre que le thème choisi a été bien pensé, la bibliophilie est l'amour des livres. On a ajouté après la bibliophilie et autres pathologies, comme on sait tous que d'aimer amène à d'autres compulsions, dépendances, manies, etc. Dans ce numéro de la revue, on y retrouve des nouvellistes intéressants comme Frédérick Hardel, Ariane Gélinas, Chrisitane Lahaie, André Carpentier, David Bélanger et plusieurs autres. Des nouvelles vont toucher au monde de l'édition, le livre comme un bien précieux, la nostalgie d'une bibliothèque, le conservateur qui se fait dévaliser, le divorce incombe quelquefois à la séparation des biens, etc. Ce qui touche le monde livresque sensibilise le lecteur ou l'auteur à ce qui se passe autour, et aussi en étant conscient que nous sommes dépendants de notre amour pour les livres.
Un beau moment de lecture qui m'a plu, surtout que le thème m'interpelle puisque je me trouve une bibliophile, donc certains textes pourraient avoir été écrits pour moi ou selon l'exemple que je leur donne, etc. Je souligne que la partie du thème libre est vraiment intéressante et les auteurs ont écrit avec intelligence et ils arrivent à amener le lecteur à méditer. La revue de la nouvelle a toujours de bons collaborateurs au sein de leur équipe, je vous invite à lire les fascicules de la revue et je pense bien que vous allez apprécier votre lecture.
Résumé :
L’amour des livres se décline en une infinie variété et s’adresse à la fois aux sens et à l’esprit. Le parfum enivrant de l’encre, la texture exquise d’une reliure sous les doigts et le doux bruissement du papier enchantent tout autant que les histoires racontées. Mais que reste-t-il de nos amours livresques, une fois la dernière page tournée? Les livres que l’on dévore nous consument aussi en retour. S’abîmer dans la lecture de ce numéro ne laissera personne indemne.