*Merci aux Éditions de L'Archipel et Netgalley de m'avoir donné l’opportunité de lire ce livre en lecture de presse*
-Le dernier bistrot
-Anna Véronique El Baze
-Éditions de L'Archipel via Netgalley
-300 pages
-Thriller, café, Noël, huis-clos
Le commentaire de Cathy :
Anna Véronique El Baze nous propose un roman captivant à l’atmosphère anxiogène qui nous enveloppe tout le long de notre lecture.
Paris, un 24 décembre.
La nuit est tombée.
Une jeune femme semble endormie sur son lit. Une tache de sang s'élargit près de sa tête.
Non loin de là, les néons du Bar de l'Avenir éclairent encore la rue des Filles-du-Calvaire.
C'est un soir comme tant d'autres.
Des clients esseulés traînent, s'observent, s'ennuient. Chacun porte son histoire, ses secrets, ses failles, ses espoirs.
Le patron, la carrure imposante, la mine désabusée, les jauge tout en essuyant des verres à la chaîne.
À 21 h 30, il verrouille sa porte, sort une arme et met la salle en joue.
Pourquoi ?
Que veut-il ?
La nuit sera longue, chahutée, violente.
Personne n'en sortira indemne.
Ce huis-clos sous tension nous fait découvrir un panel de personnages éclectiques, une femme qui élève seule son enfant, un handicapé qui passe son temps à regarder les filles, une Maghrébine venu attendre son amant, une prostituée, un homme adultère et un jeune homme qui veut éviter de réveillonner avec sa famille et enfin le patron de ce café qui a pris tout ce petit monde en otage.
L’auteure nous dépeint chaque personnalité avec brio, elle aborde plusieurs sujets intéressants tels que le handicap, la religion, la pauvreté et l’homosexualité, au fil des pages et sous la menace chacun va s’ouvrir et partager avec les autres une partie de leurs vies, nous allons découvrir les cicatrices, les douleurs et secrets de certains.
Je viens de passer un excellent moment de lecture, j’ai aimé apprendre à connaître chacun, j’ai été émue par le final de cette histoire.
Résumé :
Paris, un 24 décembre. La nuit est tombée. Une jeune femme semble endormie sur son lit. Une tache de sang s'élargit près de sa tête. Non loin de là, les néons du Bar de l'Avenir éclairent encore la rue des Filles-du-Calvaire.
C'est un soir comme tant d'autres. Des clients esseulés traînent, s'observent, s'ennuient. Chacun porte son histoire, ses secrets, ses failles, ses espoirs. Le patron, la carrure imposante, la mine désabusée, les jauge tout en essuyant des verres à la chaîne.
À 21 h 30, il verrouille sa porte, sort une arme et met la salle en joue. Pourquoi ? Que veut-il ? Quel rapport avec la jeune femme assassinée ?
La nuit sera longue, chahutée, violente. Personne n'en sortira indemne.
Un huis clos sous tension qui plonge dans le malheur de vies ordinaires pour en faire surgir l'espoir et l'incroyable richesse humaine.