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-Moral turpitude
-Serge Mandaret
-Publishroom
-325 pages
-Finances, manipulations, malversations
*Merci à Serge Mandaret de m'avoir donné l’opportunité de lire son livre en lecture de presse*
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Le commentaire de Cathy :
Lorsque Serge Mandaret m'a proposé de lire son roman en lecture de presse, j'ai dit oui de suite, malgré que je n'y connaisse rien en ce qui concerne les délits financiers ou la finance en général ce roman m'a de suite intéressée. L'auteur a tellement bien réussi à vulgariser les termes touchant à la finance que cela m'a paru limpide et compréhensible. Véronique Walter est cadre dans une banque, elle va devoir faire face à des démêlés judiciaires, porter le chapeau pour les réels responsables. Son sang-froid et son fort caractère vont l'aider à supporter la machination à laquelle elle doit faire face. Comment va-t-elle ce sortir de cela sachant que tout la désigne comme responsable et coupable ? J'ai littéralement dévoré ce roman, je me suis de suite très attaché au personnage de cette jeune femme qui doit se battre dans un dossier où tout l'accuse, un collègue exaspérant et super énervant mène la danse, j'ai adoré le détester. Un roman plein de tension et de rebondissements, l'auteur a une plume que j'ai beaucoup aimée. Si vous aimez les romans mêlant la finance et ces dérives, le suspense et les machinations, ce roman est pour vous, en tout cas la lecture de cette histoire a été pour moi un très bon moment.
Résumé :
Moral turpitude, nom : terme anglophone désignant un acte ou un comportement qui viole gravement le sentiment ou la norme acceptée de la communauté. En droit pénal américain, désigne les délits financiers. Une banque internationale anonyme - « La Banque » - prend le contrôle d'une entreprise marseillaise de haute technologie, persuadée d'avoir mis la main sur une pépite. Celle-ci a décroché en Libye, du temps de Kadhafi, un contrat de défense conséquent et particulièrement juteux. À la chute du régime, le décor change et le contrat tourne au vinaigre. Du côté français, c'est la panique et chacun sort les rames. Il faut des boucs émissaires. Véronique Walter, une cadre dynamique de 40 ans, est choisie comme fusible et arrêtée par la police. Menée à l'échafaud, elle ne pourra compter que sur son caractère et son sang-froid pour limiter les dégats, mais lorsque tous vous désignent coupable, comment assurer sa défense ?