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-Dans le cœur des chiens
-Anna Kazin
-Librinova Éditions
-237 pages
-Roman, famille, travail, relations humaines, quête de soi


*Merci à Librinova pour cette excellente lecture en service de presse*

*Librinova*

*Amazon FR***Amazon CA*

Le commentaire de Carole :
Un petit roman avec une grosse histoire qui pourrait facilement être la nôtre ou bien celle de notre voisin. L’histoire est divisée en deux parties, et est raconté par Agnès Vimond, la fille de Pierre et Alice. Celle-ci issue d’une famille nombreuse cherche à partir de chez elle, Pierre pour sa part a un coup de foudre en voyant Alice et lui fait rapidement sa demande en mariage. Quelle belle opportunité pour quitter la maison. Une nouvelle vie s’annonce, et très vite Alice tombe enceinte d’une petite fille qui se nommera Agnès. Tout va très vite dans ce roman, l’amour, la haine, mariage, divorce, séparation, déménagement, promotion au travail, tout se bouscule. Agnès nous raconte son cheminement face aux obstacles que la vie lui réserve, sa jeunesse qui aux yeux des autres semble le paradis, mais en fait, c’est l’enfer face aux crises de sa mère. Ensuite, elle connaît le véritable amour avec Raphaël, elle a finalement la promotion qu’elle voulait au travail pour devenir enfin quelqu’un comme dans ses rêves. Encore une fois, tout semble aller pour le mieux. Mais dans la vie, comme dit l’auteur, quand il y a deux routes, on peut choisir la belle ou celle qui est bosselée, mais la plus facile n’est pas toujours le bon chemin. Donc nous allons découvrir si Agnès a pris le bon chemin. J’ai aimé la leçon de vie qu’il y a à tirer de cette lecture, l’auteur a manipulé les mots avec une douceur et une réalité qui fait que nous pouvons y croire et même peut-être aller jusqu’à se comparer à Agnès.


Résumé :
C’est une maison de fous mais personne ne le sait. L’air y est irrespirable. En apparence, tout va bien. Nous habitons dans les hauteurs de Nairobi, près des champs de thé avec Numa, ma nounou, et Georges, le jardinier. Nous faisons des fêtes, la maison est ouverte à tous. Tous les week-ends, nous partons chasser dans l’un des plus beaux parcs africains, le parc d’Amboseli. Tous les dimanches soir, mon père arrête la voiture sur la plaine pour admirer le coucher du soleil sur le Kilimandjaro. C’est beau. Un moment de grâce dans une vie de chaos. »

Agnès a longtemps cru qu’elle échapperait au fracas de son enfance, que devenir quelqu’un d’important la sauverait. Mais elle se trompait. Sa survie, elle la doit aux fous rires inopinés, aux gestes de tendresse glanés ici et là, à l’espérance qui l’a portée. On appelle ça la résilience. Mais n’est-ce pas plutôt l’instinct de survie ? Et la chance aussi ? Car oui, quoi qu’on en dise, Agnès a eu beaucoup de chance…

Tag(s) : #FAMILLE, #TRAVAIL, #RELATIONS HUMAINES, #QUÊTE DE SOI, #ROMAN