*LA MALÉDICTION DES MONTFAUCON* Martine Meloche* Joey Cornu Éditeur* par Martine Lévesque*

-La malédiction des Montfaucon 
-Martine Meloche 
-Joey Cornu Éditeur, 2018 
-211 pages 
-Roman horreur, mystère, suspense. 

*Je tiens à remercier Joey Cornu Éditeur pour ce service de presse*

Joey Cornu Éditeur: ici

Le commentaire de Martine : 

Martine Meloche nous présente son premier roman qui ne sera sûrement pas le dernier, on ressent bien que l’auteur a lu et aimé lire des romans d’horreur et de suspense, puisque son roman est assez bien coffré avec une intrigue soutenue du début jusqu’à la fin, un environnement qui créer un décor assez sombre et inconnu de notre protagoniste Victoria. De plus, elle veut aller passer du temps seule afin de se retrouver, elle demande le droit d’aller se retirer dans le vieux manoir familial. Comme toutes les familles, les Montfaucon ont leurs parts de secrets et d'histoires cachées. De plus, avant de partir, son oncle lui recommande de ne pas s’approcher de la poupée ancienne. 
Comme toute personne avertie de ne pas toucher quelque chose, l’envie de Victoria sera augmentée de voir ce que peut bien faire cette vieille poupée, si on ose lui toucher. Le plus surprenant dans tout cela s’est que le visage de la poupée lui ressemble, alors pourquoi ? Comment va-t-elle faire pour résister à son envie de savoir ce qu’implique la mise en garde de l’oncle Jean-Jacques ? 
Un roman très novateur pour Joey Cornu Éditeur qui m’a plu, moi, la fan des romans d’horreur, puisque Martine Meloche entretient bien le suspense et la tension tout au long de son histoire. La curiosité de Victoria m’a plu, ce qui l’a rendue attachante. C’est une belle réussite pour un premier roman, j’ai bien hâte de lire de nouveau la plume innovatrice, franche et intrigante de Martine Meloche. 

Résumé : 
Enfin, Victoria pourra se cloîtrer une semaine entière au manoir familial Montfaucon et écrire le roman d’horreur qui habite ses songes depuis un moment. Les lieux lui inspirent néanmoins bien davantage que des idées… Quelqu’un la surveille, à moins que ce soit… quelque chose ? « Ne touche surtout pas à la poupée ancienne », lui a bien recommandé son oncle Jean-Jacques avant de partir. Qu’est-ce qu’elle a de si particulier, cette poupée ? Elle lui ressemble un peu, et après ? 
Martine Meloche signe un premier roman plein d’angoisse et de surprises.