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-Il y a toujours un piano quelque part
-Olivia Jones
-Auto-édition, 2018 
-598 pages
-Roman fantaisiste, amitié, amour, fantôme


*Je voudrais remercier Olivia Jones pour m’avoir permis de lire son excellent roman en lecture de presse*

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Le commentaire de Céline :
Qu’ont en commun les habitants du 37 de la rue du Rêve? Ils recherchent tous quelque chose. Pour un, c’est percer dans la mode, pour une autre, c’est éditer son livre ou encore pour une autre, que son mari soit amoureux d’elle, mais ils partagent aussi tous quelque chose : un fantôme. Mais pas n’importe quel fantôme, un gentil fantôme mais extrêmement gourmand. Il s’immiscera dans la vie de tous et chacun pour les aider et surtout pour comprendre leurs états d’âmes et pour ça, il prendra des chemins peu orthodoxes (ce qui m’a bien fait rire). Pour être honnête avec vous, j’ai une peur bleue des fantômes et j’ai hésité à le lire mais je m’en serais mordue les doigts car j’aurais passé à côté d’un magnifique moment de lecture. Olivia Jones n’est pas tombée dans l’horreur, au contraire, Martin nous amuse par ses répliques et ses manières de hanter les habitants (j'aimerais bien qu’il vienne me visiter moi aussi un certain soir, comme il a fait chez Denise). Bref! C’est un excellent roman rempli d’émotions. Olivia Jones a su me faire passer de la tristesse au rire en un claquement de doigts. Les personnages sont super attachants, tellement que j’ai même éprouvé de la compassion pour Denise. C’est un excellent roman ainsi qu’une excellente auteure que je vous invite à découvrir sans hésitation. 

Résumé :
Au 37 de la rue du Rêve, dans un immeuble délabré de la banlieue parisienne, les locataires sont particulièrement perturbés, par leur solitude, leur mal-être, leurs souvenirs douloureux. Mais au moment où ils font enfin connaissance, leur vie va changer, et des événements étranges les bousculent et les font s’interroger. Sans compter les rêves bizarres qui les hantent et les poussent à adopter des comportements inattendus. La faute au petit fantôme de 17 ans qui hante leurs murs peut-être ? Une sorte d’ange-gardien au solide appétit, qui ne se gêne pas pour picorer dans les assiettes des deux meilleures cuisinières de l’immeuble. Car on dévore au 37 de la rue du Rêve ! On dirait même qu’on ne pense qu’à ça ! A ça et à l’amour, l’amour qui leur manque à tous si désespérément. Sauf peut-être à Denise, la vilaine fille de l’histoire ! Et pourtant, malgré la tristesse, la solitude, les déceptions multiples, c’est le rire qui jaillit au fil des pages, et emporte tout sur son passage grâce à Martin, le petit fantôme à l’optimisme dévastateur. Dans ce livre, très éloigné de ses habituels sentiers bretons, Olivia Jones explore le cœur humain, un peu comme au théâtre, avec ses rêves inaccessibles, son mal de vivre, sa folie parfois. Il y a toujours un piano quelque part, est son premier roman, enfin publié.

Tag(s) : #ROMAN, #FANTAISIE, #AMITIÉ, #AMOUR, #FANTÔME, #AUTO-ÉDITIONS, #CELINE B