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-Promenons-nous tant que la mort n'y est pas
-Mélanie Desforges
-Auto-éditions, 2020
-321 pages
-Science-fiction, thriller surnaturel, nouvelle, suspense, apocalypse, cauchemar
*Je tiens à remercier l’auteure Mélanie Desforges pour ce service de presse*
Le commentaire de Martine :
Mélanie Desforges présente sous la plume de son personnage principal Franck, auteur alcoolique et dépressif, des scènes de nouvelles d’horreur, en plongeant dans un univers dysfonctionnel, irrationnel et déjanté. Dans ce récit, l’horreur rime avec la mort, la folie et les démons.
Ce récit nous tient en haleine, il se lit bien, l’intrigue est bien menée et soutenue. Le mystère est présent et s’installe dès le début dans ce thriller. Je peux dire que dans l’ensemble les nouvelles m’ont plu, mais j’ai un “crush” pour La couleur du passé. Ces nouvelles nous plongent dans l’épouvante, un environnement noir, glauque et sombre comme j’aime. Pour le personnage de Franck, c’est un homme tortueux, tourmenté et hanté par ses propres démons, je l’adore. Promenons-nous tant que la mort n’y est pas est un bon recueil que je vous recommande. Une belle lecture, et Mélanie Deforges est une auteure à découvrir.
Résumé :
Franck en a sa claque du monde littéraire. Il n’a qu’une envie : Jeter sa plume d’écrivain et en finir avec tout ça. C’est sans compter sur son éditeur qui lui impose un dernier ouvrage. C’est donc décidé, Franck écrira un recueil de nouvelles. Six nouvelles d’horreur. Six nouvelles inspirées par ses propres démons et à l’issue de tout ça, il y aura le feu d’artifice. Le grand final. Entrez dans cet univers où l’ennemi est en vous, où la Faucheuse vous observe de près. Entre bien et mal, le combat est souvent rude. Qui en sortira vainqueur ? Et au fond, peut-il vraiment y avoir un vainqueur, si ce n’est la mort elle-même ?