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-Les cordes à linge de la Basse-Ville
-Lyne Richard
-Lévesque Éditeur
-134 pages
-Roman, nouvelles, quotidien, québécois
*Merci à Lévesque Éditeur ainsi qu'à Dola Communications, pour m'avoir donné l'opportunité de lire ce livre en service de presse*
| LÉVESQUE ÉDITEUR: ICI |
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| DOLA COMMUNICATIONS: ICI |
Le commentaire de Lynda :
Ce roman est composé de petites nouvelles, si on peut le dire ainsi. Des sujets différents, mais à quelque part ça se rejoint. Les personnages s'entrecroisent.
Un petit garçon, oh là, là, qu'il est venu me chercher ce petit bonhomme, que l'on rencontre dans une des nouvelles principalement, mais qui croisera également les gens dans d'autres histoires, il nous parle du chagrin à sa façon... Et croyez-moi, c'est pratiquement impossible de ne rien ressentir face à lui.
L'itinérant, aussi qui regarde la foule s'attrouper suite à un drame. La fin d'un amour suite à une rupture, ou la fin d'un amour suite au décès. Même l'inceste est au programme dans ce roman, une toute petite histoire, qui laisse la fin à votre imagination !
Et que dire des cordes à linge, je n'en dirai pas plus, pour attiser votre curiosité, mais j'ai adoré les explications de notre photographe de cordes à linge ! Je peux seulement vous dire que je ne pensais pas que l'on pouvait en savoir autant sur les voisins selon leurs cordes à linge !
Bref, un tout petit livre, qui se lit très, très rapidement, les pages se tournent rapidement, on s'attache à la plupart des personnages, mon préféré sans aucune hésitation, Nathan le petit garçon, et sa boîte jaune, et non, je ne vous dirai pas ce qu'il y a dans sa boîte jaune !
Résumé :
Campé dans le quartier populaire de Saint-Sauveur à Québec, ce roman par nouvelles de Lyne Richard raconte les hauts et les bas d’une petite communauté aux prises avec les aléas de la vie : une femme abandonnée, mère d’un petit garçon, finit par se suicider, un clochard passe et se réjouit de trouver une boîte de papier-mouchoirs intacte dans une poubelle, un sculpteur tombe amoureux d’une inconnue et, tel Pygmalion, la modèle et la remodèle sans cesse. À l’horizon se dressent les cordes à linge de la Basse-Ville, tels de révélateurs des destins croisés et contrastés que Richard raconte avec le doigté, la poésie et la finesse qu’on lui connaît depuis Il est venu avec des anémones.