*LA SAGA DE L'ANTÉVERS* T2: L'Annihilatrice à couettes* Guilhem* ÉLP Éditeur* par Cathy Le Gall*

*Tome 1: ici*

-La saga de l'Antévers

-Tome 2 : L'Annihilatrice à couettes

-Guilhem

-ÉLP éditeur

-518 pages

-Heroïc Fantasy, saga, combat, humour

*Merci à Guilhem et à ÉLP éditeur de m'avoir donné l’opportunité de lire son livre en lecture de presse*

*ELP Éditeur*

*Amazon FR***Amazon CA*

*Guilhem, auteur(FB)*

Le commentaire de Cathy : COUP DE COEUR!

Ce roman est le deuxième tome de la saga de l'Antévers, suite directe du chevalier à la canne à pêche, qui avait été un coup de cœur pour moi.
Plus de trois ans que j'attendais de me replonger dans l'univers créé par Guilhem, ça valait le coup d'attendre, je vous l'assure.
J'ai eu énormément de plaisir de retrouver les personnages déjà rencontrés précédemment et en découvrir d'autres hauts en couleur, le trophée du personnage le plus délirant va au magistère, à chaque fois qu'il apparaît dans ce récit, il m'a fait exploser de rire.
J'ai adoré que l'auteur nous fasse suivre les personnages dans différents endroits, chacun va vivre de sacrées aventures, Lupin va retrouver le pêcheur, Sélène, avec ses compagnons de route, va devoir se battre contre de drôles d'attaquants.
Guilhem nous propose une aventure hors du commun, l'humour est présent, ça fait du bien de rire autant pendant une lecture, le fait de suivre l'histoire à différents endroits donne un très bon rythme au récit.
J'avais lu le premier tome, il y a déjà longtemps, mais je n'ai eu aucun mal à me replonger dans cet univers si particulier, j'espère avoir une suite au plus vite.
Coup de cœur pour ce deuxième tome.

Résumé :

« Lorsqu’il fut établi que personne ne serait en mesure d’empêcher l’Armée de Secours de foncer dans le tas tête baissée, les soldats expérimentés d’Asia les prirent de vitesse. Ils se sacrifièrent pour réussir une percée dans les défenses ennemies. La plupart d’entre eux furent cueillis en pleine charge par les armes de jet de l’Élysée. Leur mort permit de créer une petite brèche dans laquelle la horde de femelles s’engouffra, massacrant à tour de bras, de l’intérieur, les forces de l’Élysée. C’était comme si des siècles à contenir leur animalité derrière des sourires charmeurs, une coquetterie forcée et des putains de cérémonie du thé à la con explosaient tels des pieds bandés lotus d’or enfin libérés. De mémoire militaire, jamais on ne vit un tel carnage sur un champ de bataille. »