*L'ANGOISSE D'ÊTRE À JEUN* Sara Robinson* Éditions Triptyque, Groupe Nota Bene* par Martine Lévesque*

*Je tiens à remercier Les Éditions Triptyque et Le Groupe Nota Bene pour ce service de presse*

-L’angoisse d’être à jeun
-Sara Robinson
-Les Éditions Triptyque
-160 pages
-Roman contemporain, Franco-Ontariens, Notre-Dame de Paris

*Éditions Triptyque*

*Groupe Nota Bene*

Le commentaire de Martine :
Un récit extraordinaire qui dérange, des histoires racontées avec l'éclairage de Notre-Dame de Paris. Comment imaginer les personnages d'Esmeralda, Phoebus, Quasimodo, Frollo et le bossu dans un univers où les rêves amoureux sont augmentés au cours des nuits blanches, dans un monde où les excès sont permis, du monde des bars, des blessés par l'amour, des dépendants qui sont des philosophes de l'absurdité de la vie au cours des nuits, c'est la création de Sara Robinson dans une forme d'indépendance et d'idéalisme ?

L'angoisse d'être à jeun est un roman particulier, tout en étant intéressant et enrichissant. Avec des personnages qui utilisent le charme et la séduction comme moyen de communication, d'échange ou de relation. Un récit poétique et extravagant. C'est une lecture amusante que je vous recommande.

Résumé :
Dans ce roman extravagant qui fait l’effet d’une bombe à paillettes, une certaine Carrie Bradshaw a consommé trop d’amphétamines et s’est transformée en personnage de Notre-Dame de Paris. Dans le Vieux-Hull et devant son ordinateur, cette Esmeralda 2.0 se complaît avec humour dans une sexualité douloureuse et des idéaux romantiques exacerbés par ses nuits blanches. Elle est passionnément amoureuse de Phœbus, un barman de seize ans son aîné qui ne partage pas ses sentiments, tandis qu’autour d’elle d’autres hommes la bercent, dont Quasimodo, son meilleur ami, qu’elle voudrait aimer en retour, et Frollo, génie littéraire adepte de catholicisme. Avec ce portrait à la fois tendre et trash d’une génération perdue, Sara Robinson nous invite à danser sur la corde raide entre romantisme et libertinage.