*UN CHOIX D'AMOUR* Valérie Forgues* Éditions Triptyque, Groupe Nota Bene* par Martine Lévesque*

*Je tiens à remercier Les Éditions Triptyque et le Groupe Nota Bene pour ce service de presse*

-Un choix d’amour
-Valérie Forgues
-Les Éditions Triptyque, collection Difforme
-174 pages
-Récit de vie, mémoire, maternité, couple, famille, souvenirs, ruptures

*Éditions Triptyque*

*Amazon FR***Amazon CA*

*Valérie Forgues, FB*

*Groupe Nota Bene*

Le commentaire de Martine :  ♥ Coup de coeur ♥
Un choix d'amour est un récit de vie, ayant comme sujet une femme qui ne veut pas avoir d'enfant. Ce récit qui vient creuser la non-maternité et l'interruption de grossesse. L'auteure plonge dans l'intimité avec respect, honnêteté et sincérité, elle partage les sentiments et les ressentiments, face à une société qui va promouvoir la maternité comme la réalisation ultime de l'apogée de la féminité.
C'est un texte qui fait pénétrer le lecteur dans un lieu intérieur et personnel de chaque femme, qui porte en elle, leurs blessures, leurs manquements, leurs pensées, leurs convictions, leurs croyances, leur éducation, leurs rêves, leurs désirs, etc. Ce livre a une parole en lui, qui doit être exprimé haut et fort.
Quelle beauté que cette histoire que nous offre Valérie Forgues, un roman poétique et franc sur le choix de vie ainsi que du désir de ne pas porter d'enfants. Un texte profond qui touche le cœur, si tu es intéressé par le sujet, je vous le recommande puisque pour moi, c'est un COUP DE CŒUR phénoménal par sa simplicité, son authenticité, sa vulnérabilité, sa compassion, son humilité et sa confiance que le texte dégage.

Résumé :
Dans ce récit mémoriel, Valérie Forgues examine méticuleusement la non-maternité et l’interruption de grossesse. Archéologue de l’intime et lectrice engagée, elle fouille parmi les mots d’autres femmes (Annie Ernaux, Colombe Schneck, Sheila Heti, Lucie Joubert, etc.), ainsi que dans ses propres souvenirs pour cartographier en toute sensibilité les chocs, les ruptures, l’errance et le courage qui se mobilisent dans la décision de ne pas être mère. L’autrice nomme la douleur et la culpabilité, mais aussi la soif indéniable de liberté qui, grâce à cette écriture sincère et réparatrice, est aussi une manière de choisir l’amour.